Shirine

Thierry Escaich

À Lyon, Thierry Escaich signe un superbe opéra sur l’émancipation féminine, d’après un poète perse du XIIe siècle. Des influences très diverses y servent une polyphonie enivrante.

Eric Dahan, Libération

Le public lyonnais a réservé un accueil chaleureux à cette création, confirmant qu’Escaich a trouvé un style capable de rallier l’auditoire à la création lyrique.

Christian Merlin, Le Figaro

La mise en scène de Richard Brunel nous plongera dans une “féerie” accentuée par l’usage de la vidéo de Yann Philippe, illustrant les réflexions de l’œuvre sur le rôle de l’image.

Guillaume Médioni, Lyon capitale

La mise en scène (du Directeur maison Richard Brunel) s’ouvre sur l’image très puissante de femmes aux bouches cousues, qui enlèvent les fils de leurs lèvres (à l’image des luttes pour leur émancipation et du parcours de la libre Shirine )

Olyrix

La poésie, il y en a dans quelques images de la mise en scène de Richard Brunel, notamment grâce à des éclairages subtils et à la scénographie éloquente d’Étienne Pluss.

Christian Merlin, Le Figaro

À ce flux d’idées musicales s’engendrant sans répit, tissé de courses-poursuites, ostinatos, cellules répétitives et couleurs exotiques, du quanun au ney, répond la mise en scène de Richard Brunel, évitant le kitsch de la féerie en alternant projections vidéo modernistes, décor de montagne monumental, plateau nu éclairé au néon ou en ombres portées.

Eric Dahan, Libération

Après l’extraordinaire succès de Claude sur un livret de Robert Badinter en 2013, Escaich quitte l’univers carcéral et la peine de mort pour l’émancipation féminine inspirée par la musique traditionnelle iranienne

Luc Hernandez, Exit mag

Une féerie tragique mise en scène par Richard Brunel, aujourd’hui directeur de l’Opéra de Lyon à la suite de Serge Dorny, qui avait initié le projet, et née du corpus de légendes tissées autour de Shirine et Khosrow, le dernier grand Sassanide.

Jacqueline Thuilleux, Figaro Magazine

À la fois réflexion sur la liberté de la femme et sur le rôle de « l’image », de la représentation, l’opéra Shirine s’affranchit d’un orientalisme grossier et s’inscrit dans la modernité.

Guillaume Médioni, Lyon capitale

La bataille sera quasi shakespearienne. En évitant les clichés orientalistes, la mise en scène de Richard Brunel se joue, comme déjà à cette époque avec les portraits, de notre fascination de l’image avec les selfies. Ne pourrait-on tomber amoureux que de belles images ?

Madame Figaro

À Lyon, Thierry Escaich signe un superbe opéra sur l’émancipation féminine, d’après un poète perse du XIIe siècle. Des influences très diverses y servent une polyphonie enivrante.

Eric Dahan, Libération

Le public lyonnais a réservé un accueil chaleureux à cette création, confirmant qu’Escaich a trouvé un style capable de rallier l’auditoire à la création lyrique.

Christian Merlin, Le Figaro

La mise en scène de Richard Brunel nous plongera dans une “féerie” accentuée par l’usage de la vidéo de Yann Philippe, illustrant les réflexions de l’œuvre sur le rôle de l’image.

Guillaume Médioni, Lyon capitale

La mise en scène (du Directeur maison Richard Brunel) s’ouvre sur l’image très puissante de femmes aux bouches cousues, qui enlèvent les fils de leurs lèvres (à l’image des luttes pour leur émancipation et du parcours de la libre Shirine )

Olyrix

Shirine
Thierry Escaich

Opéra en douze tableaux
Livret de Atiq Rahimi
Création mondiale
Commande de l’Opéra de Lyon

Direction musicale Franck Ollu
Mise en scène Richard Brunel
Décors Etienne Pluss
Costumes Wojciech Dziedic
Lumières Henning Streck
Vidéo Yann Philippe
Chorégraphie Hervé Chaussard
Dramaturgie Catherine Ailloud-Nicolas
Assistante mise en scène Ester Pieri
Chefs des Chœurs Denis Comtet

Avec

Jeanne Gérard
Julien Berh,
Jean-Sébastien Bou,
Majdouline Zerari,
Théophile Alexandre,
Laurent Alvaro,
Florent Karrer,
Stephen Mills,

Orchestre et Chœurs de L’Opéra de Lyon

Production Opéra de Lyon