Du début à la fin, le metteur en scène installe un climat de violence et de cruauté, créant parfois des atmosphères rappelant le cinéma – l’enlèvement de Gilda, ballet de lampes-torches, la tempête du dernier acte. Une production inventive et cohérente, impeccablement rythmée, appuyée sur une direction d’acteurs tendue, à la mesure de la tragédie.
Didier Van Moere, Diapason